Les vacances, l’ingrédient miracle des couples heureux ?
Les vacances, l’ingrédient miracle des couples heureux ?
90% des Français pensent que partir en vacances avec leur partenaire renforce le couple
VoyagesPirates, l’expert des bons plans voyages et séjours sur internet, a interrogé les Français et les Françaises[1] sur leur conception des vacances avec l’être aimé. Si la popularité des vacances comme activité pour resserrer les liens du couple a été démontré, le sondage révèle également quelles sont les principales causes de disputes quand on voyage en amoureux.
Les vacances et le couple, une belle histoire d’amour…
Dans leur écrasante majorité, les Français considèrent que voyager en couple permet de renforcer les liens avec leur partenaire : 90% des Français considèrent que le fait de partir en vacances en amoureux soude le couple. Explorer de nouveaux horizons avec la personne qui nous est chère attire plus de la moitié des Français, qui sont 58% à dire préférer partir en vacances avec leur partenaire plutôt qu’avec des amis ou des membres de leur famille.
… qui peut venir être troublée par quelques mauvaises habitudes
Cependant tout n’est pas toujours rose lorsqu’on décide de voyager en couple. Des disputes peuvent venir gâcher de beaux moments. VoyagesPirates a demandé aux Français quelles étaient les principales causes de disputes pour les couples en voyage. Pour 23% d’entre elles, le coupable tient dans notre poche : il s’agit d’une utilisation excessive du téléphone portable. Il faut donc apprendre à goûter l’instant et le vivre pleinement avec son partenaire et réussir à lâcher son smartphone pour ne pas transformer un voyage romantique en drame itinérant.
La première cause de dispute en vacances, responsable de 30% des prises de bec, est le fait que les gens puissent avoir des attentes différentes pendant son séjour. Il est donc essentiel de prendre le temps d’échanger et de communiquer en amont du départ afin de s’assurer que les activités et le rythme du séjour conviennent à l’un comme à l’autre.
L’étude complète est disponible sur demande
[1] Etude réalisée auprès de 2633 répondants